En mars 2024, une collection remarquable de dessins de chats par Théophile-Alexandre Steinlen, acquis par un passionné d’art à Drouot entre les années 60 et 90, a été remise en vente dans le célèbre quartier des enchères parisiennes. Cette enchère, orchestrée par la maison de ventes Millon en collaboration avec le cabinet Tavel&Simon et sous l’œil avisé de l’expert Antonio Casciello, a connu un succès phénoménal, avec des œuvres s’arrachant entre 1 500 et 11 000 euros.
Théophile-Alexandre Steinlen, reconnu pour son talent exceptionnel dans l’art de capturer l’essence et le caractère des chats dans ses œuvres, continue de séduire les amateurs d’art à travers le temps. Les dessins, représentant avec tendresse et acuité ces créatures dans diverses postures et expressions, reflètent l’attachement profond de Steinlen pour ces animaux, le rendant l’un des illustrateurs félinophiles les plus célèbres de son époque.
La collection, réunie avec passion sur plusieurs décennies, a offert aux collectionneurs contemporains une fenêtre sur l’évolution artistique de Steinlen ainsi que sur les tendances collectionneuses à Drouot du milieu du 20e siècle jusqu’aux années 90. Chaque pièce, chargée d’histoire et de provenance unique, a trouvé une nouvelle maison, attestant de l’intérêt indéfectible pour les œuvres qui captent avec authenticité la beauté du quotidien.
L’engouement autour de cette vente n’a pas seulement réaffirmé la valeur artistique de Steinlen mais a également mis en lumière la perspicacité du collectionneur initial, dont les acquisitions méticuleuses ont traversé les âges pour devenir les joyaux de cette enchère record. Les prix atteints témoignent de la reconnaissance continue de l’art de Steinlen et de son impact durable sur l’art figuratif et la représentation animale.
Cette enchère a non seulement célébré l’héritage artistique de Steinlen mais a aussi rendu hommage à la vision d’un collectionneur qui, dans les allées de Drouot des années 60 à 90, avait su percevoir la valeur intemporelle de ces œuvres. La réussite de la vente met en évidence l’importance des maisons de ventes et des experts dans la valorisation et la transmission des collections particulières, permettant à de nouvelles générations d’apprécier et de préserver le patrimoine artistique.
La collection de dessins de chats par Steinlen, remise en lumière grâce à cette vente, continue d’inspirer et de fasciner, prouvant une fois de plus que l’amour pour l’art et les animaux transcende les époques. La passion et l’engagement des acteurs du marché de l’art, de Millon au cabinet Tavel&Simon, ont été déterminants dans le partage de cet héritage unique avec le monde, marquant mars 2024 comme un mois mémorable pour les amateurs d’art.
Dans une collaboration fructueuse entre la maison de ventes Millon et le cabinet d’experts Tavel&Simon, avec l’expertise de Cécile Ritzenthaler, le tableau « Le Village » de Gustave Cariot, daté de 1939, a réalisé une performance remarquable en triplant son estimation lors d’une vente aux enchères en 2024. Cette huile sur toile, mesurant 46 x 61 cm, est devenue le centre d’une intense compétition entre collectionneurs, reflétant l’intérêt soutenu pour l’œuvre post-impressionniste de Cariot.
Gustave Cariot, peintre parisien dont l’œuvre s’étend sur la première moitié du XXe siècle, est célébré pour ses paysages qui capturent l’essence de la campagne française avec une palette lumineuse et vibrante. « Le Village » incarne cette sensibilité unique, offrant une vision idyllique et colorée qui a captivé le cœur des enchérisseurs.
La vente, orchestrée par Millon en étroite collaboration avec le cabinet Tavel&Simon et sous l’œil expert de Cécile Ritzenthaler, a souligné l’importance de la synergie entre maisons de vente et experts pour la valorisation des œuvres d’art. Cette union d’expertises a non seulement permis de présenter l’œuvre dans les meilleures conditions mais aussi d’attirer une audience internationale, prête à reconnaître la valeur artistique et historique de l’œuvre.
Le succès de « Le Village » reflète l’excellence de la préparation et de la promotion de la vente, mettant en lumière l’importance cruciale d’une évaluation précise et d’une compréhension approfondie du marché. L’engouement suscité autour de cette pièce témoigne de l’intérêt continu pour le post-impressionnisme et confirme la position de Gustave Cariot comme un artiste majeur de cette période.
Le résultat de la vente représente non seulement une victoire pour les vendeurs et l’acheteur heureux mais aussi pour Millon et le cabinet Tavel&Simon, affirmant leur rôle essentiel dans le monde de l’art. Cécile Ritzenthaler, par son expertise, a contribué de manière significative à la reconnaissance de l’œuvre, soulignant la synergie entre connaissance historique et expertise technique dans l’évaluation des œuvres d’art.
Cette vente exceptionnelle ouvre des perspectives optimistes pour le marché de l’art en 2024, démontrant l’appétit des collectionneurs pour des œuvres d’art significatives et la capacité des professionnels de l’art à guider et à enrichir ce marché. « Le Village » de Gustave Cariot, maintenant reconnu pour son importance et sa valeur accrue, reste un témoignage éclatant de la beauté et de l’histoire capturées par les maîtres post-impressionnistes.
Lors d’une récente vente organisée par Millon et Tavel&Simon, une œuvre sur papier de Francis Picabia intitulée « Transparence mains et visages », créée aux alentours de 1930, a été adjugée à 59 000 euros. La pièce, qui avait été estimée entre 20 000 et 30 000 euros, est un témoignage poignant de la période surréaliste de l’artiste.
Francis Picabia, figure de proue du mouvement surréaliste, est réputé pour son approche expérimentale de l’art qui défie les catégorisations traditionnelles. Dans « Transparence mains et visages », Picabia superpose des images dans une composition à plusieurs niveaux, créant une œuvre d’une profondeur et d’une complexité fascinantes. La technique mixte utilisée, associant crayon, encre, lavis d’encre et fusain sur un papier fort, mesure 38,5 par 28,5 cm et porte la signature de l’artiste en bas à droite.
Le rôle du commissaire-priseur Tavel&Simon dans cette vente a été crucial. Non seulement dans la curation méticuleuse de l’œuvre mais aussi dans la présentation de l’artiste et de son importance historique aux potentiels acquéreurs. L’expertise de Cécile Ritzenthaler a évidemment porté ses fruits, comme en témoigne l’issue de la vente.
Cette œuvre représente l’une des séries les plus innovantes de Picabia, où l’artiste joue avec la transparence pour explorer les relations entre les formes et les figures. « Transparence mains et visages » illustre ainsi la volonté de Picabia de repousser les limites de la représentation visuelle.
L’adjudication de cette pièce pour un montant significatif reflète non seulement l’expertise dans l’évaluation d’œuvres d’art mais aussi la reconnaissance continue de l’importance de Picabia dans l’art du XXe siècle. L’intérêt marqué des collectionneurs pour cette vente démontre la vitalité du marché de l’art et la valeur accordée aux travaux d’avant-garde historiques.
Le travail préparatoire du commissaire-priseur a joué un rôle fondamental dans le succès de la vente. De l’authentification de l’œuvre à la communication autour de sa signification historique et artistique, Tavel&Simon a veillé à ce que « Transparence mains et visages » soit présentée dans les meilleures conditions possibles, attirant l’attention d’un public international.
La vente de « Transparence mains et visages » constitue un exemple notable de la dynamique du marché de l’art et du rôle essentiel que jouent les commissaires-priseurs dans la valorisation et la préservation des œuvres d’art.
Dans l’attente de futures ventes, Tavel&Simon reste engagé à proposer des œuvres d’art de qualité qui suscitent l’intérêt et le respect, contribuant ainsi au rayonnement culturel et historique de l’art auprès des générations présentes et futures.
Dans une enchère qui s’est démarquée comme un point culminant pour l’art moderne en 2024,
Tavel&Simon est fier d’annoncer la vente de « Le Pas de la Colle, Cassis », une toile emblématique de Henri Charles Manguin.
Datant de 1912, l’huile sur toile a été cédée pour la somme de 207 000 euros lors d’une vente à Drouot,
surpassant toutes les estimations préalables et établissant un record pour l’œuvre de l’artiste pour l’année.La toile, qui porte au dos l’étiquette de la galerie Druet et une mention manuscrite à la craie bleue,
est connue pour figurer parmi les archives de la famille de l’artiste.
« Le Pas de la Colle, Cassis » illustre la maîtrise incomparable de Manguin dans l’art du fauvisme,
une vision captivante du paysage méditerranéen baignée de lumière et de couleur.
La vente illustre l’engagement de Tavel&Simon envers l’excellence et leur expertise dans la présentation d’œuvres significatives
sur le marché de l’art. Ce résultat exceptionnel confirme la place de Manguin dans le panthéon des grands maîtres de l’art moderne.
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